Le Chaudron, source de la Venoge

 

 

Localisation
Coupe Plan
Récit

par maxime de Gianpietro


Par Cyrille Brandt

Nous avions commencé la désobstruction de la source en juin 1970, là où l'eau jaillissait entre les galets sur le fond de la rivière, profondeur un demi-mètre. En cinquante-deux séances de 1970 à 1974, avec la participation de membres du Centre de Sports Sous-marins de Lausanne et d'équipiers non-plongeurs du Groupe Spéléo Lausanne (GSL, alors dénommé SSS Lausanne), un puits vertical a été vidé de roches, cailloux et détritus divers jusqu'à la profondeur de 13 m, sans espoir de continuation. Le fond du puits est une cuvette rocheuse, l'eau provenant d'une faille impénétrable (dont l'amorce est visible en haut à gauche sur la photo). Sur la hauteur où il est pénétrable, le puits doit son diamètre à l'érosion régressive par tourbillonnement et ruissellement de sable sur les parois et le fond.

 


par maxime de Gianpietro

 

 

 


 


Pierre au travail dans le puits de la source de la Venoge, toujours le 29 décembre 1972. Une fois rempli, le bidon est remonté avec corde et poulie par des équipiers de surface - par Cyrille Brandt

 

De gauche à droite, Etienne Mayerat et Alain Corboud (GSL), Philippe Schneider (GLPS) et Gilbert Paillex (CSSL, GLPS),lors d'une séance de désobstruction à la source de la Venoge, le 8 septembre 1974 - par Cyrille Brandt


source secondaire de la venoge, par Maxime de Gianpietro


source secondaire de la venoge, par Maxime de Gianpietro


source secondaire de la venoge, par Maxime de Gianpietro